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Le Pen - Page 7

  • Jeanne d’Arc et les papes

    Extrait du discours de Jean-Marie Le Pen

    Aujourd'hui, les maffias idéologiques de notre temps ont pris pour cible le Pape Benoit XVI à qui ne sont épargnées ni les diffamations, ni les injustices.

    Or, les Papes, depuis Martin V, qui fut le seul à s'élever contre la trahison du Traité de Troyes, ont tous joué un rôle bénéfique à l'égard de Jeanne.

    Et d'abord Pie X lors de la béatification le 18 avril 1909, il y a 100 ans, « Si le catholicisme était l'ennemi de la Patrie, il ne serait plus une religion divine ». A la fin des cérémonies et à la surprise générale, Pie X se leva et embrassa longuement le drapeau français.

    Dix ans plus tard, le 6 avril 1919, Benoit XV, dans ses discours de canonisation : « Nous trouvons si juste, que le souvenir de Jeanne enflamme les Français, pour leur Patrie que nous regrettons de n'être Français que par le cœur. »

    Pie XII enfin : « Et s'il peut sembler un moment que triomphent l'impunité, le mensonge et la corruption, il vous suffira de faire silence quelques instants et de lever les yeux au ciel pour imaginer les légions de Jeanne d'Arc qui reviennent, bannières déployées, pour sauver la Patrie et pour sauver la foi. »

    Honneur à Jeanne et honneur aux Papes qui l'honorèrent.

  • Quelques billets aux entreprises…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le président bling-bling prend les patrons pour des voituriers du Fouquet's. Il croit qu'il suffit de donner quelques billets aux entreprises pour qu'elles embauchent des jeunes.

    Il faudrait qu'on lui explique que ce n'est pas comme cela que ça fonctionne. Mais ce n'est certes pas Mme Parisot qui pourrait le faire, elle qui n'a jamais dirigé qu'une entreprise à faire du vent.

    Et bien sûr Nicolas Sarkozy, en bon socialiste, relance les « contrats aidés ».

    Le tout pour 1,3 milliard d'euros, qu'il va trouver comme d'habitude dans sa caisse magique, puisque celles de l'Etat sont plus que vides.

    L'efficacité de ce plan est déjà connue : elle sera nulle.

  • Grave revers pour Schulz au Parlement européen

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    La Commission institutionnelle du Parlement Européen a rejeté la proposition de modification du règlement tendant à remplacer le doyen d'âge par une personne nommée par les groupes politiques, lors de la présidence de la session inaugurale de la prochaine mandature du Parlement.

    Cet échec constitue un grave revers moral pour Monsieur Schulz, président allemand du groupe socialiste, qui avait été l'initiateur de la manœuvre mesquine visant à empêcher éventuellement Jean-Marie Le Pen de présider cette séance inaugurale.

    [Et pourtant les présidents des groupes s'étaient mis d'accord sur cette infamie.]

  • Encore le mensonge sur la Turquie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le menteur a encore menti, et son nez s'est encore allongé un peu plus.

    Ce n'est pas vrai que Nicolas Sarkozy s'oppose à la volonté américaine, réitérée par Barack Obama à Prague, de voir la Turquie entrer dans l'Union européenne.

    Pendant sa campagne électorale, il avait annoncé qu'il s'opposerait à l'ouverture de nouveaux chapitres. Une fois élu, il a laissé les négociations d'adhésion se poursuivre, et lorsqu'il fut président du Conseil européen, deux nouveaux chapitres furent ouverts.

    En outre, Nicolas Sarkozy a supprimé l'article de la Constitution qui obligeait à organiser un référendum sur l'adhésion de nouveaux membres.

    Le nouveau mensonge de Nicolas Sarkozy vise à rassurer les Français après la tentative du gouvernement turc, au nom de l'islam, de faire échec à la nomination du Premier ministre danois comme secrétaire général de l'OTAN, et les mystérieuses "garanties" obtenues par Ankara pour prix de son acceptation.

    Les Français peuvent constater qu'en réalité l'Union européenne est soumise à la volonté américaine et qu'ils sont trompés en permanence.

    Qu'ils ne se trompent pas lorsqu'ils mettront leur bulletin dans l'urne lors des prochaines élections.

  • La « citoyenneté de l’Union »

    Explication de vote de Jean-Marie Le Pen au Parlement européen sur « les problèmes et perspectives liés à la citoyenneté de l'Union »

    Monsieur le Président,

    Le rapport de notre collègue Gacek sur la citoyenneté de l'Union est une véritable supercherie.

    Sous couvert de renforcer la liberté de circulation et de séjour des ressortissants communautaires dans l'Union européenne, il instaure une véritable égalité de traitement entre ces derniers et les citoyens des pays tiers.

    Le rapport utilise à dessein le terme général de citoyenneté qui englobe de manière parfaitement illégitime les concepts de nationalité d'un Etat membre et de citoyenneté de l'Union.

    L'objectif, au-delà de la confusion volontaire, est très clair : élargir la possibilité d'acquérir la nationalité d'un Etat membre à toute personne résidant légalement dans cet Etat en vertu du droit dérivé de la citoyenneté de l'Union. C'est la raison pour laquelle, le rapporteur introduit un nouveau concept de migrant intra-communautaire, espèce en voie de multiplication. Il est vrai que le Parlement européen est maintenant composé de représentants des citoyens de l'Union et non plus des peuples des Etats. C'est une atteinte grave à l'identité nationale et à sa cohésion.

    Prenez garde, mes chers collègues, en tant que représentants des citoyens indifférenciés de l'Union européenne, vous allez bientôt devenir des députés apatrides. Mais, au fond, c'est peut être ce que vous souhaitez.

  • Mais si, ils vont le faire

    Au cours de leur réunion régulière à huis clos, les présidents des groupes politiques du Parlement européen ont décidé de donner leur feu vert à une modification du règlement, afin d'empêcher Jean-Marie Le Pen de présider la prochaine session inaugurale en tant que doyen.

    L'idée avait été lancée par le chef du groupe socialiste Martin Schulz, appuyé par Daniel Cohn-Bendit. Ils ont été ralliés par le PPE, puis par le groupe libéral.

    Parce que Jean-Marie Le Pen a osé, hier, demander des excuses à Martin Schulz.

    Celui-ci avait éructé : "Je suis préoccupé par le fait qu'un négationniste de l'Holocauste puisse présider la session inaugurale du Parlement européen. Il est inacceptable, inadmissible qu'un négationniste pour qui Auschwitz est un détail de l'Histoire, un vieux fasciste comme Le Pen, puisse le faire."

    En plénière, Jean-Marie Le Pen a répondu : "Je me suis borné à dire que les chambres à gaz étaient un détail de l'Histoire de la guerre mondiale, ce qui est une évidence. Je rappelle qu'à cette occasion, j'ai été condamné à 200.000 euros de dommages et intérêts, ce qui prouve l'état dans lequel se trouve la liberté d'opinion en Europe et en France." Et de demander au président du groupe socialiste "de bien vouloir formuler des excuses pour une accusation qui est mensongère".

    Naturellement Jean-Marie Le Pen a été hué, le MRAP veut porter plainte, le Congrès juif européen veut qu'il soit expulsé du Parlement européen, etc.

    La modification du règlement pourrait être votée en plénière en avril. Les présidents de groupes ne savent pas encore qui pourrait présider la séance inaugurale, ils savent seulement que ce ne doit pas être Le Pen...

  • Des commissaires ectoplasmes

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy va nommer des « commissaires à l'industrialisation ».

    Mais la France est soumise depuis des décennies aux commissaires à la désindustrialisation qui officient à Bruxelles.

    Face à ceux-là, auxquels les gouvernements ont donné tous les pouvoirs, les commissaires de Nicolas Sarkozy ne peuvent être que des ectoplasmes.

  • Je serai à Strasbourg le 14 juillet !

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    S'il ne s'y mêlait d'odieuses calomnies, j'observerais avec le sourire les objurgations de MM. Schulz et Cohn-Bendit qui entendent priver le doyen d'âge du prochain Parlement européen de présider la séance inaugurale, uniquement parce qu'il s'appellera Jean-Marie Le Pen.

    Il serait extravagant que le Parlement européen modifie son règlement par « reductio ad Le Penum », et se fasse ainsi la risée des assemblées démocratiques.

    A M. Joseph Daul qui espère que je ne participerai pas à cette séance pour cause de 14-Juillet, je répondrai que l'occurrence avec notre fête nationale est une raison de plus de faire entendre la voix de la France indépendante et souveraine dans l'hémicycle de l'euromondialisme.

  • Et maintenant Rocard...

    Communiqué de presse de Jean-Marie Le Pen

    Michel Rocard, dit-on, est pressenti pour devenir ambassadeur de France chargé des négociations internationales relatives aux pôles Arctique et Antarctique.

    Comme s'il n'y avait rien de plus urgent dans la situation catastrophique que connaît notre pays.

    On sait que Michel Rocard se pose en spécialiste de l'Arctique et craint « la menace de forages à tout va ». Mais on sait aussi que ce continent est protégé pour 50 ans, précisément contre les forages, par le protocole de Madrid de 1991.

    Après le voyage de Jack Lang comme envoyé spécial du Président à Cuba, le seul motif de ce hochet donné à l'ancien Premier ministre est de marquer toujours plus l'orientation à gauche de Nicolas Sarkozy.

  • Le culot de Nicolas Sarkozy

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    On sait que Nicolas Sarkozy ne manque pas de culot. Mais c'est un record d'impudence qu'il a battu hier en osant déclarer que « le rapprochement avec l'Otan conforte notre indépendance nationale ».

    Lorsqu'on fait partie du « commandement intégré » d'une « alliance », on aliène forcément une partie de son indépendance. Et le fait de traiter de « menteurs » ceux qui le disent ne change rien à l'évidence.

    D'autre part il est stupéfiant d'entendre Nicolas Sarkozy se poser une nouvelle fois en garant de l'indépendance de la France alors qu'il a fait ratifier le traité de Lisbonne qui supprime encore des pans de souveraineté, et qu'il poursuit avec obstination une politique euromondialiste.